Nuage de Tourment » C H A T O N
Messages : 24 Points : 28 Date d'inscription : 29/10/2009 PUF : Coconut's Envie de ? : Nutella Humeur : Niark Niark Niark
•• C h a r a c t e r •• RelationShip: •• Clan: de la source •• Rang: Chaton
| Sujet: Petit Tourment / The little best. Jeu 29 Oct - 20:35 | |
| # Petit Tourment Nuage de Tourment – Tourment Secret – Etoile de Tourment
Chaton. Une lune. Clan de la Source. Histoire : Le plus étonnant moment dans une vie, c’est certainement notre naissance. Je suis né à peu près comme tout le monde, mais mes parents et le reste de ma vie est forcément différent de la votre. Juste après ma naissance, ma maman c’est empressé de nous dire à tous son histoire ainsi que celle de notre père qui n’était pas là, je le savais car je ne ressentais pas sa présence. Elle ne voulut pas nous narrer le moment où elle vit le jour, trouvant cela trop ennuyant et inutile. Je crois qu’elle avait déjà tout prévu, et qu’elle voulait nous apprendre comment gérer notre vie avant même de pouvoir observer le monde qui nous entoure. Je sentais à mes côtés mes frères et sœurs gigotaient, j’étais sans aucun doute le plus attentif. Dès que j’entendis sa voix s’élevait, je savais qu’il fallait que j’écoute très attentivement l’histoire de son vécu, cela me serait très utile, comme elle l’avait dis juste un peu plus tôt.
Maman avait très tôt quitté sa famille, n’aimant pas être entouré. Elle n’avait pas pris le temps d’écouter les conseils avisés de ses parents, à son futur désespoir. Chasser lui était complètement inconnu, et la forêt grouillait de danger pour un chaton de seulement trois lunes. Elle n’avait rien appris, et la seule chose qui l’aider était d’espionner quelques autres félins pour savoir comment il se débrouillait. Son enfance fût très rude jusqu’à ce qu’elle rencontre une personne qui allait lui venir en aide. Kleïk, ma mère, avait été d’abord très réticente face à l’approche brusque de Sphère Infernal. Lorsqu’elle apprit son nom seulement quelques minutes après, elle eut d’autant plus peur de ce mâle effrayant. Ce dernier avait un pelage noir de jais et des yeux jaunes bien encrés dans leurs orbites. C’était le chat typique de toutes ces expressions et malédictions sinistres. Notamment comparer à la fourrure blanche comme neige et le regard océan de ma mère, qui s’était bien décrite exprès. Dans tous les cas, sa petite carrure l’obligeait à obéir, on ne sait jamais ce qui pouvait se passer si elle essayait de s’enfuir sous les paroles délicates du grand noir imposant. Elle fut rapidement surprise par son hospitalité, il lui avait également expliqué qu’il manquait beaucoup de compagnie, et qu’un esprit enfantin lui ferait le plus grand bien à fréquenter. Pendant quelques lunes, il alla chercher à manger, changer les litières lorsqu’elles étaient humides, s’occupaient d’aller chercher des plantes à chaque petites blessures ou maladies, même les siennes. Kleïk ne faisait rien d’autre que rêvasser toute la journée ou allait se balader en regardant la nature qui l’entourait. Même en observant, elle n’essayait pas de rechercher les plus infimes détails, ce qui l’empêcha d’apprendre des choses qui lui aurait été bien utile. Un beau jour, Sphère Infernal cessait de dormir dans leur abri, sortait beaucoup plus mais ramenait moins à manger, d’aller chercher des plantes guérisseuses. Il vînt se planter devant ma maman, et lui posa une simple question : « Qu’as-tu appris pendant ces cinq derniers mois ? ». Elle ne savait que répondre, et ne se doutait pas de ce qu’il allait lui dire, et surtout, de la faute qu’elle avait fait en ne cherchant pas à se débrouiller par elle-même. « N’as-tu jamais regarder un papillon ? Ses ailes qui se déploient et battent si rapidement qu’elles sont floues à nos yeux, puis il s’envole en tourbillonnant et naviguant entre les plantes. T’es-tu seulement une fois intéresser à ce qui nous aider à chasser ? La souris qui ressent les vibrations file rapidement, et il faut savoir à quel moment bondir, et surtout, éviter de trop s’affaisser sur le sol, ce qui pourrait l’alerter et la faire fuir avant même que tu n’es réussi à sauter. Le lapin qui est très attentif a une bonne ouïe grâce à ses grandes oreilles, il faut essayer de faire le moins de bruit possible car il est très sensible au son. Si jamais un jour tu devais te battre contre un autre félin, comment ferais-tu ? Il faudrait que tu te battes corps et âme, que tu saches combiner les deux afin de devenir beaucoup plus fort que tu l’estimes. Essayer rien que pour quelques instants d’enlever tous ces bons moments passés dans ta vie, ou pire, avec cette personne, et te mener vers une fin de combat héroïque. Nous devrions tous essayer de faire remonter nos plus grosses douleurs qui nous poussent en ce jour à mettre notre vie en danger pour vaincre un adversaire qui dois lui aussi avoir de bonnes raisons pour pouvoir gagner, sans même baisser les bras lorsque nous sentons la douleur nous ronger. Car c’est en fait elle qui nous donne la rage et nous pousse à aller plus loin, c’est la souffrance qui précède et accompagne la haine. Dans un conflit, la haine est ton allié, ne l’oublie jamais, car l’amour est dans tous les domaines, ton pire adversaire. » Il venait de balancer cela à ma jolie mère avec tant d’émotions qu’elle ne sus quoi répondre. Elle le laissa s’en aller, et sans jamais savoir si cela avait été une hallucination ou pas, elle entendit un tendre et doux «Je t’aime. ».
Après cela, elle avait raconté avoir énormément souffert de ne rien savoir sur le monde qui l’entourait. Mais grâce au dernier discours de Sphère, elle apprit à faire attention aux moindres petits détails de la vie quotidienne, et devenus plus forte, plus agile, plus habile dans la forêt. Elle avait beaucoup regretté pendant les premiers mois de solitude son incompétence justifié, mais avec de l’entraînement, Kleïk avait remonté la pente courageusement malgré les difficultés rencontrées sur son chemin. Il fallait dès à présent qu’elle nous raconte l’histoire de notre père, ou plutôt, c’est lui qui allait nous la raconter. Au moment même où elle allait commencer, je ressentis une odeur, un mouvement qui m’indiqua qu’il était là, près à commencer le récit. Lui aussi envoya aux oubliettes sa naissance, et je n’en fus pas mécontent.Sa vie fut bien différente de celle de maman, il ne partit pas tôt du foyer familial, au contraire. Ses parents étaient assez flemmards, il se chargeait donc de beaucoup de choses. Il apprit rapidement à se débrouiller seul tout en restant avec les siens. Seul un de ses frères avaient survécu à un puissant virus dont ils ne connaissaient le nom. Même sa mère n’a pas supporté et partit dans un autre monde. Ils étaient donc trois : Kiuur, mon père, Kall, mon oncle et Klom, mon grand-père (je crois bien que c’était la mode des « K »). Il savait qu’il était à présent avec -je cite- « les pires ordures » qu’il avait connu. Il s’était donc enfuit, loin, sachant que Kall essaierait désespérément de le retrouver pour qu’il s’occupe à nouveau des tâches qui allaient plus loin que dormir et se nourrir d’une proie chassée par autrui. Un matin, lorsqu’il se levait avec un mal de tête énorme, il aperçut un chat noir pencher sur lui. Il ne nous apprit que plus tard que c’était également Sphère Infernal. « Tu es lâche, petit. Tu as quitté ta famille sans même lui dire pourquoi, tu leur dois des explications. Ils avaient beaux être paresseux et assez invivable, tu aurais dus les affronter en face et leur expliquer ce qui n’allait pas, ce qui te poussait à devenir un véritable solitaire. Ne crois pas que je t’espionne, je sais beaucoup de choses, c’est tout. Tu devrais y retourner, rien que pour leur dire ce que tu ressens, tu sais très bien que le mal qui a terrassé le reste de ta famille va réapparaître un jour ou l’autre, et qui sais ce qui pourra leurs arriver. Si tu n’y vas pas maintenant, crois-moi, tu le regretteras. Kiuur, affrontes-les. Deviens ce que tu as toujours voulu être. N’oublie jamais que fuir est la pire des solutions et que le pardon n’est pas une preuve de lâcheté, mais de courage. » Le mâle noir partit, comme si de rien n’était, la tête haute. Jamais Kiuur ne se serait douté qu’une rencontre si brève pouvait être si importante. Il obéit à cet inconnu, et suit la trace du reste de sa famille. Lorsqu’il les retrouva, il se lança immédiatement. Les vérités éclatèrent et les sentiments sortirent au grand jour. Malgré ces instants dures, ils se pardonnèrent, ce qui n’empêcha pas mon père de repartir tout de même, mais le cœur plus léger.
Effectivement, j’étais le seul à être réellement attentif ce qui me rendit très fier de moi-même. Je saurais comment me comporter dès à présent tandis que les autres devront se débrouiller plus tard, lorsque l’heure de s’en aller sera venue. Je ne vous raconterai pas mon premier mois de vie, ce serait bien trop ennuyant. Cependant, il faut bien que je narre le passage qui va me changer complètement d’élément.
Kleïk m’avait attrapé par la peau du cou, comme elle le faisait habituellement. Je me rappelle encore du trajet court mais éprouvant que l’on a effectué. Je le sentais stresser, tendu et même triste. Il y avait aussi de la peur dans ses effluves, c’était très pertinent. C’était la nuit, et le noir ne m’effrayait guère. Je me posais des tas de questions mais évitais de les poser, je savais très bien que je n’obtiendrais aucune réponse jusqu’à ce que je sois arrivé à destination. D’ailleurs, nous arrivions enfin car elle me déposa sur le sol humide. « Tourment, tu es le plus doué de tous mes petits, celui qui mérite d’avoir une vie exemplaire, d’aller loin, de mener à bien une mission quelconque. Tu vois ces fougères là bas, tu vas devoir t’y enfoncer, et tu atterriras dans une clairière, tu seras forcément accueillis. Donne leurs absolument toutes les informations qu’ils te demandent. Je te laisse aujourd’hui avec d’autres félins, un clan, celui de la Source. J’ai appris à me séparer de personne que j’aimais pour leur bien, comme Sphère l’a fait avec moi. Je sais pourquoi il était moins présent, et aussi pourquoi il est partit. J’espère seulement que je suis tombée sur la bonne tribu, s’il est ici, dis lui d’où tu viens. Tu sais, je crois qu’au fond, je ne l’ai pas aimé comme un mentor, mais comme j’aurais dus aimer ton père. Et c’est pour cela qu’il s’en est allé, ailleurs, parmi d’autres. Je suis loin d’être aussi douée que lui pour les discours, mais je fais du mieux que je peux. Je t’aime, sache-le, mais jamais il ne faut que cela entrave à ton parcours. » Et pour finir en beauté, comme Sphère l'avait fait, nous partions chacun de notre côté, et je lui lançais tel un mirage, le plus léger mais aussi le plus lourd en sentiments que je pouvais : «Je t'aime»
Caractère : On ne m'a jamais dis que j'étais difficile à comprendre, bien au contraire. Me décrire n'est pas facile, je ne sais pas encore qui je suis, je ne me suis pas encore trouvé. Mes humeurs ne changent pas d'un évènement à l'autre, il me faut vraiment un gros coup émotionnel pour me sortir d'une grande gaieté ou d'une profonde tristesse. Je suis très posé, je ne m'énerve que très rarement, et si cela le mérite. Je sais très bien différencier l'amour de la haine et les effacer de moi quelques instants s'il le faut, on m'a sans cesse enseigné cela. J'ai un code assez spécial pour démontrer mes émotions, une fois qu'on l'a compris, je suis bien plus facile à décrypter. Je me dévoile très peu aux autres, je préfère garder mes souvenirs pour moi. Non pas par égoïsme, loin de là, mais plus pour être sur que rien ne me retombera dessus plus tard pour une quelconque raison ou encore bien d'autres choses. Je suis donc prudent, mais aussi vachement attentif à tous ce qui m'entoure, ce qui penche également vers la curiosité, parfois mal placé. Je n'ai rien d'autres à ajouter, après tout, comme je l'ai dis précédemment, je ne me dévoile pas beaucoup.
Physique : Avec mon jeune âge, je suis donc petit, mais il paraît que je serais un gros gabarit, c'est ce que tout le monde me raconte. J'ai déjà de grosses pattes capables de bien supporter le poids de mon corps. Je ne suis pas gros du tout, pile ce qu'il faut, mes côtes sont peu visibles. Mon museau est bien définit, montrant un nez rose pâle. Juste au dessus, mes yeux bleus foncés, sombres et mystérieux en font fondre plus d’uns. Mon pelage gris et blanc est bien répartie, d'égal à égal.
Descendance : Grand-mère côté maternelle : Shytz Grand-père côté maternelle : Dante Grand-mère côté parternel : Atchys Grand-père côté paternel : Klom => Frère : Kall Mère : Kleïk Père : Kiuur Soeurs : Rain & Betïca Frères : Doxt & Sown Hors personnage # PUF : Coconut's Code du réglement : Validoche . =P Avis sur le forum : J'aime (L)
Dernière édition par Petit Tourment le Dim 8 Nov - 17:03, édité 7 fois | |
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